surnaturel et monnaie

Gamme : Palladium

Version : première édition
Type : Supplément de contexte
Editeur : Palladium Books
Langue : anglais (Version originale)
Date de parution : juillet 2000 (disponible)
Auteur(s) : Bill Coffin, Kevin Siembieda
Couverture : Matthew Stawicki
Illustrateur(s) : Freddie E. Williams II, Wayne Breaux Jr, Kent Burles, Monica (Siembieda) Donald, Apollo Okamura, Mike Wilson, Ryan Beres, Scott Johnson, Bill Coffin
Numéro ISBN : 1-57457-047-1

Support : papier
Matériel : Livre de 160 pages

Description :

Déjà brièvement décrites dans Adventures on the High Seas, l’île de Y-Oda et sa fameuse bibliothèque gigantesque sont détaillées dans ce supplément, qui contient également les descriptions de quelques merveilles stockées en ces lieux.

La première partie du livre, intitulée "The Island" (12 pages), est consacrée à la géographie de l’île. Après un bref historique et une table de rumeurs, chacun des lieux marquants de l’île est décrit en détail : les deux ports, la ville de Bletherad, les volcans Y et Oda. Quelques paragraphes rappellent la description et les caractéristiques des Zavor, d’étranges créatures immunisées à la magie et qui se multiplient lorsqu’ils subissent des attaques magiques.

La deuxième partie, intitulée "The Library" (33 pages), détaille la bibliothèque. Après la description détaillée du lieu, accompagnée de plans, le chapitre expose le système de classement en dix ailes : le Sage pour les ouvrages non-classés, le Moine pour les généralités, le Mystique pour la magie, le Prophète pour la religion, le Prince pour la société, le Cryptique pour les langues, l’Erudit pour la nature, l’Artifex pour les inventions, le Fou pour les arts, le Vagabond pour le monde. Suite à cela, le chapitre évoque l’ordre monastique qui gère la bibliothèque, les lois qui s’y appliquent et son service de sécurité. Enfin, la fin du chapitre commente les différentes sections de chaque aile de la bibliothèque.

La troisième partie, "The Guardians", fait 17 pages. Elle décrit le conflit qui opposa, il y a quelques siècles, les bibliothèques du monde à une secte fanatique à la solde du dieu Chantico, dédiée à la destruction de toute littérature : la Zéloterie. Un groupe de dix gardiens a été formé, pour veiller à ce que la secte ne retrouve jamais sa puissance. Les dix gardiens actuels sont décrits avec leurs caractéristiques, et la fin du chapitre présente les lieux où la secte existerait encore.

La quatrième partie, "The Argosy", compose le reste de l’ouvrage. Elle introduit d’abord plusieurs grimoires rescapés de la bibliothèque d’Alarassa détruite par la Zéloterie, prétexte à un catalogue d’une cinquantaine de nouveaux sorts. Ensuite, une vingtaine d’objets magiques sont exposés en détails, d’après un ouvrage ancien conservé à Bletherad. D’autres ouvrages, dont un manuel de démonologie, un guide de l’assassin, un bestiaire et un guide de numismatique, sont les occasions de documenter trois diables et trois démons, douze poisons, onze créatures, et de développer de manière illustrée les systèmes monétaires du monde.

Le reste du chapitre contient des articles très variés : la description d’un traité diplomatique, celle d’une roue de la fortune ayant servi à la justice, plusieurs cartes du monde incluant les lignes telluriques, les schémas de la guerre Elfes-Nains et les royaumes héroïques des divers panthéons, plusieurs cartes aux trésors, huit plans de forteresses, un chapitre sur les anciens navires volants et un dernier paragraphe sur les machines de siège.

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pièce canadienne

A l’attention du directeur de l’information et du responsable des affectations:

Une première mondiale – La première monnaie-de-tradition musicale de l’histoire de la numismatique

    MONTREAL, le 31 oct. /CNW Telbec/ - En hommage aux compositeurs
québécois, la Fondation Luminescence Inc. pour la musique contemporaine, ses
créateurs et ses interprètes lance officiellement la Collection numismatique
Ross Perrin.
    La première des 10 émissions de cette Collection inédite vient d'être
frappée à la mémoire du compositeur Claude Vivier dont on célèbre, en
2007-2008, le 60e anniversaire de naissance et le 25e anniversaire du décès.
    Une paire des épreuves de frappe de cette émission numismatique seront
offertes à la Fondation Claude Vivier lors du lancement officiel de la
collection.

    <<
                         Le mercredi 7 novembre 2007

                                    16H00

                           Librairie Serge et Réal
                              1455, rue Amherst
                                   Montréal

    Conçus et réalisés par Les Monnaies du Québec, ces monuments miniatures à
l'effigie des André Mathieu, Serge Garant, Pierre Mercure, Jean
Papineau-Couture, Colin McPhee, Claude Champagne et Calixa Lavallée
transporteront, gravés dans le métal, notre souvenir et notre fierté à travers
le temps et l'espace.
    Cette initiative de la Fondation Luminescence Inc. supportera la première
de Luminescence (Perrin, 2005) et de Désintégration (Vivier, 1972) présentée
au Gesù, le 8 décembre 2007.

                           Le 7 novembre à 16h00,
                         la première des premières !
    >>


Renseignements: et Réservation: Nicole Boissonnault, communications,
(514) 255-0307, http://fondation-luminescence.org
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BOURSES numismatiques

Pour tous renseignements allez voir dans la rubrique album photo pour les bourses du mois
dans le diaporama des bourses cliquez sur la bourse qui vous
interesse. A plus longue échéance le site ami EGMP vous donne les bourses de toute la Belgique
 
ICI SOUS le diaporama dans la rubrique SITES AMIS
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Vatican musee

Nouveau Musée philatélique et numismatique du Vatican

Les émissions et la production

ROME, Jeudi 27 septembre 2007 (ZENIT.org) – Le Vatican a un nouveau musée, à la fois philatélique et numismatique.

Ce nouveau musée s’intègre dans les Musées du Vatican et présente la production numismatique de l’Etat de la Cité du Vatican depuis 1929, et les étapes de cette production : dessins, planches, plâtres, matrices et outils.

Le musée propose aussi une collection philatélique relative aux Etats pontificaux de 1852 à 1870, et les dessins de différent artistes pour la réalisation de timbres et d’aérogrammes.

On notera que le site Internet du Vatican consacre une page à son service numismatique et philatélique (accès par la page de la Cité du Vatican). On peut y voir notamment les dernières émissions (cf. par mail : ufn@vatican.va).

© Innovative Media, Inc.

L’accord préalable écrit de l’éditeur est nécessaire pour toute reproduction des informations de ZENIT.

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Monaco monnaie

jeudi 27 septembre 2007

Index de l’article

NUMISMATIQUE – Deux nouvelles médailles de Monaco

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La 18ème Rencontre Internationale Numismatique de Monaco, organisée par l’Association Numismatique de Monaco (A.N.M.), et placée sous le Haut Patronage de S.A.S. le Prince Albert II, aura lieu le dimanche 30 septembre 2007*. L’événement numismatique de cette 18ème Rencontre sera la frappe de deux nouvelles médailles qui viendront enrichir le médaillier monégasque.
Déjà en 1983, lors de la VIème Rencontre Internationale, l’association monégasque avait procédé à la frappe artisanale au balancier, d’un jeton à l’effigie de Sainte Dévote, patronne de la famille princière de Monaco et de l’association, sur flancs de cuivre rouge pur (58 exemplaires), d’argent (97 ex., plus 4 essais et 3 jetons « bijoutier »), et d’étain (260 ex.).
Depuis, lors de chaque Rencontre Internationale Numismatique, l’association monégasque fait frapper des médailles commémoratives à l’effigie des Princes de Monaco. Ces médailles, frappées en argent et en bronze, en édition limitée, sont présentées en coffret, accompagnées d’une notice historique. Un exemplaire en or est destiné à la collection de S.A.S. le prince souverain (Musée des Timbres et des Monnaies de Monaco). La série a débuté en 1991 avec une médaille à l’effigie du Prince Honoré II (1604-1662), pour se poursuivre chronologiquement jusqu’en 2005 avec une médaille à l’effigie du Prince Honoré V (1819-1841).
Exceptionnellement en cette année 2007, l’association a fait frapper deux médailles : l’une à l’effigie du Prince Florestan (1841-1856), l’autre à l’effigie de Lucien Grimaldi, seigneur de Monaco (1505-1523), commémorant le 500ème anniversaire du siège de Monaco en 1507.

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Musée de Rabat

Longeant d’un pas rapide l’imposant édifice de la Bank Al Maghrib, quels sont les habitués de la rue Mohammed V qui découvriront que le vaste temple de la finance, coin Le Caire et Mançour Ad-Dahbi, recèle l’un des musées les plus complets, mais aussi le plus réservé au Maroc ?

Le Musée de la Monnaie, conçu par l’architecte allemand Jansen en collaboration avec la société Faz & Neumayer, fut officiellement inauguré par Sa Majesté Mohammed VI le 19 juin 2002. Depuis, sa riche collection constitue un centre de référence international en matière de recherche numismatique.

C’est par la découverte d’un inestimable trésor aux Roches Noires en 1926 que l’aventure débute. Un navire romain échoué sur les côtes il y a plus de vingt siècles a permis à un collectionneur casablancais, Jean-Dominique Brèthes, de constituer un premier lot de pièces d’or et d’argent. Ainsi, lentement mais sûrement, germe l’idée d’exposer la trouvaille. Intéressée, la Banque d’État du Maroc acquis l’héritage en 1947. Une première exposition permanente fut organisée en 1961 à la salle des Médailles de la succursale de la Bank Al Maghrib de Casablanca, devenue entre-temps le nouvel Institut national d’émission.

A la faveur de l’extension de l’Hôtel de la Banque entre 1971 et 1974, les espaces libérés de l’Agence de Rabat furent cédés pour un déménagement du musée ; la nouvelle conception visait la présentation au public d’un patrimoine numismatique sans cesse augmenté au fil des ans. «Ce fut un coup de pouce du sort. Avec la volonté politique, nous n’avions plus d’excuses pour ne pas offrir un espace idéal pour conserver ce trésor dans les meilleures conditions possibles», explique Abdelkader Zahïr, directeur du Musée.

L’année 2001 vit la réalisation des ultimes travaux infrastructurels du Musée. La mise au point des procédés muséographiques selon les technologies dernier cri (en cours de certification ISO 9001) appliquées aux présentations audio-visuelles, panneaux coulissants et jeux de lumière, a permis d’achever entièrement le projet. Le résultat final offre un environnement où les techniques les plus raffinées de la muséologie se marient agréablement avec l’art architectural marocain, où le luxe de la grande salle de montre sait habilement apporter fraîcheur et netteté à des objets millénaires.

La scénographie conduit le visiteur à travers toutes les civilisations ayant existé au Maroc. Le début du parcours commence donc par la période la plus ancienne, soit l’époque carthaginoise. Dès le Ve siècles avant J.-C, des monnaies sorties des ateliers de Carthage, composées de cuivre, bronze et plomb circulaient librement au Maroc. Le fil de l’histoire suit son cours en passant par une série de monnaies à l’effigie des Césars et de la célèbre Maurétanie de Juba II. Les rois se succèdent, mais le pays demeure ; la part du lion de l’exposition permanente revient toutefois aux souverains arabes, des Idrissides jusqu’aux Alaouites.

Environ la moitié de la surface leur est consacrée. Amenant une agréable transition vers la modernité, la marche débouche sur les chambres du protectorat et du Maroc indépendant, qui réservent une place d’honneur au billet de banque. Chaque vitrine dispose d’un regroupement de pièces d’or, de bronze ou d’argent autour d’une dynastie ou d’un roi commun. Nous y trouvons des monnaies fort rares. Par exemple, le Dinar du Sultan Yahia Ibn Omar de 1553, de la dynastie mérinide : seulement 2 pièces sont actuellement connues dans le monde. Ou encore cette pièce d’Abou Hafs Al Murthada, absolument unique où aucun autre exemplaire déclaré n’existe, a su échapper miraculeusement au recyclage, à la fonte pour de nouvelles monnaies ou au taillage pour finir en bijou.

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Comment de telles raretés ont pu survivre jusqu’à notre époque ? Selon Abderrahim Chaaban, adjoint du directeur, «Certaines familles, dans le but de se prémunir contre les guerres ou les crises politiques, cachaient des pièces de monnaie dans des jarres ensuite dissimulées dans les murs ou sous les fondations des maisons. Plusieurs siècles plus tard, des trésors sont découverts par le plus grand des hasards».

Dans les salles connexes à l’aire d’exposition, d’autres curiosités attirent l’attention. Des pièces rondes, brunes, carrées même, d’autres à peine plus grandes que l’oeil d’un chat, constituent l’essentiel de l’assortiment. Toutefois, certaines pièces sont dotées étrangement d’une étoile à six branches, semblable à l’étoile de David, ou encore à 5 branches. L’explication vient du fait que le Sultan Ahmed El Mansour Eddhabi n’a pas hésité à confier la tâche aux Juifs de frapper la monnaie royale, dont l’étoile à 5 branches de Salomon (que l’on retrouve aussi sur le drapeau du Maroc, symbole de la Monarchie alaouite) et des caractères hébraïques ornent certaines pièces, en guise de signature.

Etonnante synthèse où l’histoire, l’économie et la culture se confondent, plus de 21 000 pièces de monnaie et 1200 billets de banque constituent une rétrospective des destinées de l’État à travers les invasions, conquêtes et influences étrangères. L’évolution des deniers remémore l’épopée des princes et la culture de leur peuple, toujours en perpétuelle transformation. Assurément, la fortune que le Musée de la Monnaie véhicule dépasse largement le cadre de la capitale.

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pièces 2007 du Canada

Les toutes nouvelles pièces de collection de la Monnaie Royale canadienne : la première pièce perforée d’un carré au Canada, de nouvelles émissions, des séries de pièces en or et en argent et plus encore

    OTTAWA, le 4 avril /CNW Telbec/ - La Monnaie royale canadienne (MRC) a
publié aujourd'hui son plus récent catalogue de pièces de collection qui
présente huit nouvelles pièces pour 2007, dont la toute première pièce
perforée d'un carré au Canada, frappée dans de l'argent fin, et qui évoque le
commerce dans la Chine ancienne. Parmi les autres pièces qui figurent dans le
catalogue, mentionnons la pièce en or pur à 99,999 % et les nouvelles pièces
en argent faisant partie de plusieurs collections existantes, notamment les
Monuments commémoratifs de guerre, les fleurs indigènes et symboliques
canadiennes et les Grands voiliers.
    "La Monnaie royale canadienne est fière de lancer des pièces de
collection qui continuent d'attester sa réputation au chapitre de la
conception, de la qualité et de l'innovation technique exceptionnelles, a
déclaré Ian E. Bennett, président de la Monnaie royale canadienne. Cet alliage
de savoir-faire artisanal, de technique et d'histoire qui compose cette toute
dernière palette de produits plaira certainement à un vaste public de
collectionneurs et d'amateurs de pièces de monnaie."
    Voici les pièces de collection dernières-nées de la Monnaie :

    PIECE CHINOISE DE 8 $ EN ARGENT FIN 2007

    Bien qu'il s'agisse d'une première à la MRC, la pièce perforée d'un carré
fit son apparition il y a plus de 2 500 ans comme monnaie courante en Chine.
Au 19e siècle, lorsque des immigrants chinois arrivèrent pour la première fois
en terre canadienne et s'y établirent en communautés soudées, ils continuèrent
à utiliser ces pièces perforées d'un carré comme jetons de commerce. Cette
pièce incomparable en argent pur à 99,99 % au fini épreuve numismatique a une
valeur nominale de 8 $. Tirée à 20 000 exemplaires, elle est proposée au prix
de 49,95 $CAN.

    PIECE EN OR PUR A 99,999 % 2007 - LA VIOLETTE CUCULLEE

    Cette pièce frappée dans l'or le plus pur jamais affiné par un hôtel des
monnaies, et polie à la main pour une perfection optimale, saisit toute la
beauté naturelle de la violette cucullée du Nouveau-Brunswick. En émettant la
première pièce de la série sur les fleurs provinciales en 1998, la MRC a été
le premier établissement de monnaie à présenter au monde des collectionneurs
le degré de pureté le plus élevé en matière d'affinage de l'or : un titrage
99999. Cette splendide pièce de plus d'une once d'or pur, d'une valeur
nominale de 350 $ et dont le tirage est limité à 1 400 exemplaires, est
proposée au prix de 1 520,95 $CAN.

    PIECE EN OR DE 1/25 D'ONCE 2007 - LE LOUP

    Quatrième de la série des plus petites pièces jamais produites par la
MRC, la pièce en or pur de 1/25 d'once 2007 représente une louve scrutant un
paysage naturel. Grâce à cette pièce de collection au fini épreuve
numismatique d'une valeur nominale de 50 cents et proposée au prix de
81,95 $CAN, un plus grand nombre de collectionneurs auront l'occasion de
posséder une pièce en or pur à 99,99 % finement ciselée.

    PIECE EN ARGENT STERLING 2007 - MONUMENT COMMEMORATIF DU CANADA A VIMY

    L'imposant monument commémoratif de la bataille de Vimy orne cette pièce
en argent sterling, la troisième d'une collection sur les monuments
spectaculaires qui rendent hommage aux anciens combattants canadiens. Emise à
l'occasion du 90e anniversaire de la victoire à la crête de Vimy, la pièce
rend hommage de façon élégante à la mémoire des milliers de soldats canadiens
perdus au combat sur territoire français durant la Première guerre mondiale.
    Le revers de cette pièce épreuve numismatique est orné de l'image du
"Canada pleurant ses fils" avec, en toile de fond, l'inscription des grades
des disparus. Le tirage mondial de cette pièce proposée au prix de 79,95 $CAN
est limité à 15 000 exemplaires.

    PIECE DE 20 $ EN ARGENT 2007 - LE BRIGANTIN

    Troisième de la populaire collection des Grands voiliers, cette pièce
illustre le brigantin, leste voilier à deux mâts qui domina les voies
commerciales des Amériques pendant l'âge d'or de la voile. Un effet
holographique spectaculaire anime le motif créé par l'artiste Bonnie Ross qui
orne cette pièce en argent pur à 99,99 %. Cette pièce au tirage limité à
16 000 exemplaires est proposée au prix de 74,95 $CAN.

    EDITION SPECIALE DU DOLLAR EPREUVE NUMISMATIQUE EN ARGENT 2007 - LES ARTS
DE LA FETE

    L'édition spéciale du dollar épreuve numismatique en argent 2007 illustre
les nombreux piliers de la communauté artistique canadienne florissante dans
un montage superbement exécuté. Cette pièce au fini épreuve numismatique,
frappée dans de l'argent sterling et dont le tirage mondial est limité à
20 000 exemplaires, est proposée au prix de 54,95 $CAN.

    PIECE DE 50 CENTS EN ARGENT STERLING 2007 - MYOSOTIS DORE

    La MRC a eu de nouveau recours à sa technique de placage d'or sélectif
exclusive pour cette nouvelle pièce de 50 cents en argent sterling. Fidèle au
thème des fleurs "dorées" du Canada, la MRC a choisi le myosotis tant pour sa
beauté délicate que pour sa valeur à titre de symbole de la Société Alzheimer
du Canada. En reconnaissance des efforts déployés par la Société Alzheimer du
Canada dans la lutte contre une maladie débilitante, la MRC versera 1 $CAN à
la Société pour chaque pièce vendue. Cette pièce dont le tirage mondial est
limité à 20 000 exemplaires est proposée au prix de 38,95 $CAN.

    PIECE DE 25 CENTS COLOREE 2007 - LE COLIBRI A GORGE RUBIS

    Le colibri à gorge rubis aux riches couleurs est représenté sur une
nouvelle pièce de 25 cents peinte au fini spécimen. Cette espèce de colibri
que l'on reconnaît instantanément sera également en vedette dans l'une des
capsules documentaires du site extrêmement populaire Faune et flore du pays.
Cette pièce dont le tirage est limité à 25 000 exemplaires est offerte au prix
de 24,95 $CAN.

    ENSEMBLE PIECE DE 25 CENTS COLOREE ET TROUSSE D'ACTIVITES - FETE DU
CANADA 2007

    La MRC se prépare à célébrer l'anniversaire du Canada en lançant sa
septième pièce de 25 cents colorée Fête du Canada. Cette pièce, ornée d'un
dessin du gendarme MacLean de la police montée vêtu du célèbre uniforme rouge,
rend hommage à la Gendarmerie royale du Canada. La pièce fait partie d'un
ensemble d'activités comprenant un jeu-questionnaire et quatre tatouages
temporaires, idéal pour les célébrations de la Fête du Canada.
    La MRC a en outre lancé la pièce de collection de 50 cents fort populaire
dans un emballage spécial commémoratif (contenant 25 pièces), deux plaquettes
d'une once en argent pur, Mariage et Bébé, ainsi que l'édition spéciale de
l'ensemble-cadeau de mariage.
    On peut se procurer les pièces numismatiques et les articles-cadeaux de
la Monnaie royale canadienne directement auprès de la Monnaie en composant le
1-800-267-1871, au Canada, ou le 1-800-268-6468, aux Etats-Unis, par Internet
au www.monnaie.ca, ou en se rendant dans l'une de ses boutiques à Ottawa ou à
Winnipeg. Ces pièces sont également offertes par l'entremise du réseau mondial
de marchands et de distributeurs de la MRC.

    La Monnaie royale canadienne, une société certifiée ISO 9001-2000, est la
société d'Etat chargée de frapper et de distribuer les pièces de monnaie
canadienne courante. Reconnue comme l'un des établissements monétaires les
plus importants et les plus polyvalents du monde, elle propose aujourd'hui à
l'échelle internationale toute une gamme de produits spécialisés de grande
qualité ainsi que des services connexes. Visitez le site Web de la Monnaie
royale canadienne à http://www.monnaie.ca/.

    Les photos des pièces peuvent être téléchargées à partir du site Web de
la Monnaie royale canadienne, à ftp://communications:RCM2007@ftp.mint.ca

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Cléopâtre et monnaie

Qui n’a pas à l’esprit la belle Elizabeth Taylor incarnant Cléopâtre dans le film de Mankiewiz? Ou la pulpeuse Monica Belluci dans «Astérix et Obélix: mission Cléopâtre» d’Alain Chabat? Le mythe risque de s’effondrer après l’étude d’une pièce de monnaie par des archéologues de l’université de Newcastle.

Cette pièce en argent, vieille de 2000 ans, dévoile en effet une reine d’Egypte dotée d’un front fuyant, d’un menton pointu, d’un nez anguleux et de lèvres fines. Sur l’autre face, figure un Marc Antoine – avec qui elle a entretenu une liaison de dix ans- aux yeux proéminents, avec un nez crochu et un large cou. Un portrait bien éloigné de celui de Richard Burton qui incarnait l’empereur romain à Hollywood en 1963.

La pièce, datée de 32 av JC, était détenue depuis 1920 par la Société des antiquaires de Newcastle. Elle était depuis restée dans le coffre d’une banque. Or, la numismatique est considérée comme l’un des meilleurs indicateurs des traits faciaux des monarques.

«Les écrivains romains nous parlent d’une Cléopâtre intelligente et charismatique, nous disent qu’elle avait une voix séductrice mais, et c’est significatif, ils ne mentionnent pas sa beauté», explique Lindsay Allason-Jones, directrice du musée archéologique de l’université de Newcastle. «L’image de Cléopâtre comme une belle séductrice est bien plus récente».

La Cléopâtre symbole de beauté remonte dans l’imaginaire occidental à Wiliam Shakespeare. Dans son «Antoine et Cléopâtre», publié en 1623, il décrit ainsi la reine: «L’âge ne peut la flétrir, ni l’habitude épuiser l’infinie variété de ses appas». Blaise Pascal nota ensuite dans ses «Pensées», parues en 1670, que «si le nez de Cléopâtre eut été plus court, la face du monde en aurait été changée».

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suite 2007 canadienne

La première pièce de Collection de 2007 de la Monnaie royale canadienne rend homage au héros autochtone canadien Joseph Brant

    BURLINGTON, le 18 janv. /CNW Telbec/ - Fidèle à sa tradition, la Monnaie
royale canadienne émet un dollar commémoratif en argent comme première pièce
de collection de l'année en rendant hommage, cette année, au héros autochtone
canadien Thayendanegea (Joseph Brant). La pièce de un dollar en argent 2007
est officiellement dévoilée aujourd'hui au Musée Joseph Brant, à Burlington
(Ontario). Burlington est l'emplacement de 3 450 acres cédés à Thayendanegea
par le roi George III pour les fidèles et loyaux services qu'il avait rendus à
la Couronne britannique pendant la Guerre de Sept ans et la guerre de
l'Indépendance américaine.
    "Thayendanegea est un vibrant symbole de bravoure et de leadership pour
tous les Canadiens", a déclaré monsieur John Moore, vice-président par intérim
des ventes et du marketing à la Monnaie royale canadienne. "Nous sommes ravis
que sa fière effigie orne le plus récent de nos dollars commémoratifs en
argent fort recherchés par les collectionneurs", a-t-il ajouté.
    Cette pièce édition limitée est frappée dans de l'argent sterling et a
été adaptée d'une oeuvre originale de Laurie McGaw. Elle illustre un portrait
majestueux de Joseph Brant portant une coiffure traditionnelle et un gorgerin
arborant les armoiries royales britanniques. D'un tirage limité à 65 000
pièces, la pièce est également disponible en fini épreuve numismatique, fini
brillant hors circulation et plaquage or sélectif dans le cadre de l'ensemble
épreuve numismatique.
    Né en Ohio en 1742, Thayendanegea a reçu une éducation anglaise et a été
baptisé du nom de Joseph Brant. Chef de guerre des Six Nations et capitaine
dans l'armée britannique, Joseph Brant s'est battu avec les Britanniques alors
qu'il était encore adolescent, se méritant le respect de part et d'autre.
Visionnaire, il a vite compris que son peuple était confronté à des
changements inévitables et il a pris des mesures pour protéger ses intérêts.
En 1783, après la guerre de l'Indépendance américaine, il a négocié des terres
pour les Six Nations dans la vallée de Grand River (Ontario) et y a construit
une colonie où il a su fusionner, avec succès, la souveraineté autochtone et
les pratiques économiques et les institutions publiques britanniques. Grâce à
son leadership, Brant a modelé une grande partie du Canada autochtone, une
influence qui résonne toujours dans la ville qui porte son nom (Brantford,
Ontario).
    Le Musée Joseph Brant a été construit pour rendre hommage à Joseph Brant
et sa terre ancestrale. A la demande avec insistance de l'honorable T.B.
McQueston, ministre de la Voirie de l'Ontario, et avec l'aide de l'Ordre
impérial des filles de l'Empire, chapitre de Thayendenegea, la construction a
commencé en 1937 et l'ouverture officielle du Musée au grand public a eu lieu
le 23 mai 1942.
    Au fil des ans, le Musée a ajouté un certain nombre d'objets importants à
sa collection, dont des artefacts ayant appartenus à Joseph Brant ainsi que la
collection de costumes et textiles historiques Eileen Collard. Gardien du
passé de Burlington et témoin de notre histoire nationale, le Musée Joseph
Brant est riche de traditions, d'enjeux et d'idées qui sont une véritable
source d'inspiration tant au Canada qu'au-delà de nos frontières. Pour plus
d'information sur la programmation du Musée, veuillez visiter le site
www.museumsofburlington.com
    On peut se procurer le dollar en argent commémoratif 2007 au Musée Joseph
Brant (Burlington) et chez les marchands A & J Enterprises (Stoney Creek),
Canadian Coin & Currency (Richmond Hill), Arcade Coins et The Coin Market
(Toronto), House of Stamps (Mississauga) ainsi qu'à divers points de vente
choisis de Postes Canada.
    On peut se procurer tous les produits de la Monnaie royale canadienne
directement auprès de la Monnaie en composant le 1-800-267-1871, au Canada, le
1-800-268-6468, aux Etats-Unis ou par Internet, à l'adresse
http://www.monnaie.ca, en visitant ses boutiques à Ottawa et à Winnipeg ou par
l'entremise de son réseau global de marchands et de distributeurs

    La Monnaie royale canadienne, une société certifiée ISO 9001-2000, est la
société d'Etat chargée de frapper et de distribuer les pièces de monnaie
canadienne courante. Reconnue comme l'un des établissements monétaires les
plus importants et les plus polyvalents du monde, elle propose aujourd'hui à
l'échelle internationale toute une gamme de produits spécialisés de grande
qualité ainsi que des services connexes. Visitez le site Web de la Monnaie
royale canadienne à http://www.monnaie.ca/.

    Les photos des pièces peuvent être téléchargées à partir du site Web de
la Monnaie royale canadienne, à http://communications:RCM2007@ftp.mint.ca
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trésor retrouvé en afganistan

 Afghanistan, les trésors retrouvés »
Tout l’or du monde

Par JEAN-LOUIS PINTE (mercredi 17 janvier 2007)

Cette exposition tient du miracle. Sans la vigilance du gouvernement qui était en place à Kaboul au début des années 1990, aucune de ces 220 pièces ne pourraient être vues et admirées aujourd’hui. Devant la furie des talibans qui détruisaient tout ce qui n’était pas représentatif de l’art ismalique, bon nombre d’objets du Musée de Kaboul furent cachés dans les coffres de la Banque centrale dans l’enceinte du palais présidentiel. Et sauvés. Fondé en 1919, le musée compta jusqu’à 100 000 objets représentant plus de six mille ans d’histoire. L’arrivée des troupes soviétiques en Afghanistan sonna le début du pillage. Les talibans, outre les spectaculaires statues des Bouddhas de Bamiyan, détruisirent, quant à eux, quelque 4000 objets. Ainsi disparurent les ivoires de Begram, toute la collection numismatique et une partie des statues gréco-bouddhiques. Aucune région n’échappa au pillage et au trafic de pièces archéologiques. En ce qui concerne la collaboration entre la France et l’Afghanistan, les premières fouilles remontent à 1922. Interrompues par la guerre, elles reprendront en 2003. Les pièces que l’on peut voir aujourd’hui sont pour l’essentiel des céramiques, des terres cuites, des terres séchées, des stucs et des bijoux en or.

CRITIQUE. Ce qu’il y a de plus spectaculaire dans cette exposition ce sont les parures funéraires exhumées des six tombes princières de la nécropole de Tillia Tepe, que l’on appelle la « Colline d’or ». Certes il ne faut pas négliger les fragments architecturaux du site d’Aï Khanoum ni les statues indochinoises de Begram ou encore les objets d’or de Tepe Fullol. Mais ce sont ces bijoux qui forcent l’admiration. Objets rares qui ne furent découverts qu’en 1978. Des tombes d’où elles proviennent, on dit qu’elles rayonnaient d’un « luxe barbare ». Ces parures traduisent une grande sophistication tant dans la matière que dans la forme, végétale la plupart du temps. Qu’il s’agisse des couronnes, broches, bagues ou pendeloques. Ces joyaux sont également le miroir, dans leur ensemble, d’une véritable influence de l’Inde, aussi bien à travers le raffinement des motifs que dans le réalisme des figures. La scénographie brillante et retenue à la fois accentue l’extrême beauté de tous ces bijoux. Devant chaque vitrine des silhouettes viennent nous montrer comment et sur qui ils étaient portés.

Musée Guimet, 6, place de Iéna (XVIe), Tlj sf mardi de 10 h à 18 h. Tél. : 01 56 52 53 00 Jusqu’au 30 avril

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